Comment nos équipements de métrologie industrielle doivent-ils évoluer pour s'adapter à l‘Industrie 4.0 ? Comment faire pour s‘équiper et combien faudra-t-il investir ? Des questions pas faciles pour les décideurs confrontés à l‘énorme tâche de transformer leur système de production éprouvé, en une usine « intelligente » – et qui vont devoir investir pour cela. Pour répondre à ces questions, ACCRETECH, l'un des principaux concepteurs et fabricants mondiaux de produits de métrologie industrielle met en ligne un nouveau livre blanc « Capteurs : les portes de l’usine intelligente ».
Un travail de plusieurs mois, effectué par des spécialistes, qui permet d'y voir clair sur les exigences que l‘industrie 4.0 impose désormais à la métrologie et ce que cela signifie pour la production et pour la planification des essais.
En moins de quinze pages, ce travail présenté comme un guide aborde des questions aussi essentielles que « Quels sont les facteurs décisifs pour garantir le choix du système de mesure approprié ? », « Quelles sont les évolutions vers l'industrie 4.0 qui auront un impact sur la métrologie ? » ou « Quels sont les avantages et les inconvénients des méthodes de mesure tactiles et optiques ? ».
Le livre blanc d'Accretech éclaire le contexte de l'évolution de l'industrie du futur sous le prisme de la métrologie
Les décideurs y sont guidés à l'aide d'une liste de questions, pour envisager clairement le développement de leur production : Qu'en est-il de la capabilité des instruments de mesure ? Qu'en est-il du retour sur investissement ? Est-il possible de faire fonctionner, d'entretenir et de réparer à distance ? Qu'en est-il de la cybersécurité ?
La motivation première pour se lancer dans l'industrie 4.0, c'est le rêve d'une utilisation optimale des ressources en production. « Un rêve possible sous certaines conditions, comme l'explique par exemple ce livre blanc, en réduisant les temps de mise en place des systèmes de mesure flexibles et modulaires au minimum, et en automatisant largement le contrôle et la maintenance de la qualité grâce à des systèmes d'autocontrôle. »
Dans l'usine intelligente idéale, les capteurs doivent remonter des données de mesure avec la plus faible incertitude possible et en temps réel. Mais surtout, ces données doivent être fournies dans un format qui facilite le traitement, la communication et la préparation des mesures tout au long de la chaîne de process - du capteur jusqu'à son jumeau numérique.
Et cette nouvelle contrainte, liée à la numérisation, impacte quantité de process mais aussi la prise en compte de l'environnement de travail !
Dans « Capteurs – les portes de l’usine intelligente », vous pourrez ainsi découvrir que la maintenance, les besoins énergétiques, et bien sûr les coûts liés à la technologie des capteurs, doivent être réduits au minimum : «
Une stabilité électrique considérable et une résistance aux facteurs externes (CEM, climat, chocs et vibrations, voire protection contre les explosions) sont également nécessaires. Car dans l'usine intelligente, les mesures ne sont pas effectuées à la fin du processus ou dans une salle de métrologie dédiée, mais le plus souvent en ligne, pendant le process de fabrication, lorsque c'est possible. On observe aussi, pour l'assurance qualité, une tendance à l'abandon des mesures aléatoires au profit de mesures à 100 %. »